STMicroelectronics
Une nouvelle organisation des équipes se met en place.
Claude Dardanne (promo 79), est nommé, à compter du 1er juillet, president, microcontrollers and digital ICs Group, membre de l'executive team. Né en 1952, ingénieur en électronique (Esigelec) il a passé dix ans chez Thomson Semiconducteurs, avant de rejoindre Apple, Alcatel-Mietec et, en 1994, STMicroelectronics, où il deviendra directeur général adjoint du groupe produits mémoires (2005), puis corporate vice president, ainsi que directeur du groupe microcontrôleurs, mémoires et smartcards (2007) et, en 2013, executive vice-président et directeur général du groupe microcontrôleurs, mémoires et sécurité.
Avril 2017
Lancement de HOWASH
Au cours d’une grande cérémonie organisée à Douala le 21 avril dernier, l’agent de joueur Sylvain Honnang a procédé au lancement d’un produit baptisé « Howash ». Un appareil ultra révolutionnaire du point de vue de son architecture et ses fonctionnalités(…). Howash est un appareil spécialisé dans le lavage auto écologique et mobile… « En moins de vingt minutes, nous lavons un véhicule efficacement grâce à l’utilisation d’un shampoing fabriqué à base de carnauba, ce produit fait ressortir la brillance de n’importe quel véhicule. Chaque personne qui utilise Howash, contribue à préserver aussi la planète parce que nous utilisions très peu d’eau (6 litres) pour ce lavage. Howash est mobile et peut donc se déplacer vers les clients qui souhaitent laver leur voiture à un endroit précis. Il existe d’ailleurs une application Howash disponible actuellement sur google play. Elle donner la possibilité à nos clients de localiser nos différents points de lavage et d’accéder facilement à nos services ». … Parmi les différents partenaires, est cité «
Yannick Mouamba (promo 2005) Ingénieur issu de prestigieuses écoles dont ESIGELEC à Rouen, et l’école Supelec/Centrale Paris. Cet ingénieur pétrolier a été mon conseiller en terme de management et de technologie. Il a apporté son expérience dans la gestion des projets complexes pétroliers. Il a muri l’idée que je me suis faite au départ en rédigeant le cahier des charges et a contribué à trouver les zones de production à bas coût dans le monde. Il est le créateur de l’application mobile Howash qui représente un vrai portefeuille électronique révolutionnaire pour les clients. Aujourd’hui dans la phase d’exploitation, Yannick Mouamba travaille énormément sur le plan technologique : ressources humaines, formation, assistance technique, service après Vente et la gestion de carrière des howashmen. » (…)
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http://press-sport.com/publi-info-lagent-de-joueur-sylvain-honnang-lance-howash/
9 mars 2017
FIT (French Institutes of Technology), association des IRT créée en 2014, vient d’élire son nouveau bureau pour les 2 prochaines années. Vincent Marcatté (promo 85), Président de l’IRT b<>com est reconduit en tant que président de l’association.
Vincent Marcatté préside l’IRT b<>com depuis mai 2012. Il est également Président du pôle de compétitivité mondial Images et Réseaux depuis fin 2008 et membre du Bureau de l’AFPC. Il est Vice-Président Open innovation à Orange Labs avec pour mission d’orchestrer la stratégie d’innovation ouverte au sein des différents écosystèmes dans lesquels le Groupe Orange est impliqué. Vincent est également porteur du plan Nouvelle France Industrielle sur la Réalité Augmentée au sein de la solution Objets Intelligents. Très impliqué dans l’écosystème local et la reconnaissance de l’excellence du numérique breton et ligérien, il est également membre du conseil de surveillance de Bretagne Développement Innovation, de celui de a french-institutes-technology.fr French Tech Rennes Saint Malo, de l’Ecole de Design de Nantes et de la Cité des Télécoms. Il est également membre du Comité Carnot et est enfin l’un des rares français à avoir été membre de l’ISTAG, organisme qui conseille la Commission européenne sur la stratégie en matière de numérique.
Diplômé de l’ESIGELEC et du programme Executive MBA de l’ESSEC Paris, Vincent a mené toute sa carrière chez Orange où il a contribué à la création de la première plateforme Internet qui a donné naissance à Wanadoo. Il a représenté Orange plusieurs années au World Wide Web Consortium (W3C). Il a ensuite été Responsable d’un laboratoire de R&D spécialisé sur la convergence du Web et de l’Audiovisuel dont sont issues trois start-ups (Envivio, Streamezzo, WokUp) puis il a été Directeur des Compétences et de la Transformation de la R&D d’Orange avant de prendre ses fonctions actuelles.
Lire l’article sur http://www.irt-jules-verne.fr/presse/fit-elit-son-nouveau-bureau/
10 mai 2017
« Déplacer des montagnes » avec ComHAND by SIATech.
Toute jeune start up, créée en avril 2016, SIATech lance ComHAND, une télécommande « alternative » qui, fixée au poignet et à la main, transforme un geste en déplacement de machines de levage, d’engins de manutention...
Contrôler le monde au bout de ses doigts… Un rêve que trois jeunes ingénieurs de l’ESIGELEC (NDLR : Frédéric Hamain, Nicolas Iriart , Élie Peeters, promo 2014) de Saint-Etienne-du-Rouvray près de Rouen (Seine-Maritime) ont aujourd’hui réalisé. Tout naît d’un besoin d’un des trois compères qui, courant en écoutant de la musique, veut pouvoir facilement choisir son air ou régler le son. « Artisanal, le premier dispositif mis au point devient le sujet de notre projet d’ingénieur appliqué au secteur médical », présente Frédéric Hamain, initiateur du projet et co-fondateur de SIATech. « L’idée est alors de créer un nouveau type de télécommande capable de diriger à distance, à l’aide des mouvements d’une main, les déplacements d’un fauteuil roulant afin d’assister, au quotidien, une infirmière ou une aide-soignante. »
Naissance de ComHAND
Le projet est validé et les ingénieurs cherchent à développer leur innovation sur des applications à forte valeur ajoutée. Leurs études de marché révèlent les secteurs de la logistique et de l’industrie comme très porteurs, notamment pour le contrôle des appareils de levage et de manutention. En avril 2016, ils créent leur start up, SIATech, lèvent des fonds (plus de 500 000 €) auprès de la BPI et différents autres investisseurs et développent, en collaboration avec le bureau d’études rouennais Overspeed (plus de 20 ans d’expérience dans la conception d’appareils électroniques), leur commande universelle sans fil ComHAND. Pour les premiers prototypes et tests réalisés en conditions réelles (chez St-Gobain et d’autres), ils se rapprochent aussi de BADT Levage, constructeur d’appareils de levage et de manutention. Et, très vite, ComHAND révèle de nombreux atouts face aux télécommandes classiquement utilisées dans le monde du levage. Les opérateurs, qui gardent les mains libres, mettent en avant la facilité d’usage, le confort et la réduction de la pénibilité au travail. Les managers soulignent, pour leur part, un gain de productivité pouvant aller jusqu’à 20 % dans un scénario classique, une amélioration de la sécurité des opérateurs, une absence de casse par chute…
’article sur
http://www.strategieslogistique.com/Deplacer-des-montagnes-avec,6918
12 mai 2017
Jean-Paul Rivière, les secrets d’une réussite à la sauce normande
Diplômé d’une école d’ingénieur de Caen, Jean-Paul Rivière a débuté sa carrière professionnelle à Caen, d’abord en tant que salarié, puis en créant sa première boîte, au Havre, l’Ordinateur.(…) Retour en Normandie où il fonde NormandNet lorsqu’Internet s’impose comme une évidence dans la vie quotidienne des entreprises et des gens. Quand il se porte candidat pour obtenir la licence de l’Internet hertzien en France, les membres de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) le regardent avec de grands yeux étonnés. Personne n’en veut en France. À commencer par les gros opérateurs du marché. Jean-Paul Rivière décroche cette technologie que l’on connaît sous le nom de Wimax. C’est son premier gros coup d’entrepreneur-business man. Car moins de deux ans après, il revend sa licence exclusive à Iliad de... Xavier Niel. Il a signé son deuxième gros coup avec Altitude Telecom. Quand il revend Altitude Telecom à Completel-Numéricable fin 2010, l’entreprise affiche un taux de croissance de l’ordre de 25 %. Mais il n’est toujours pas question de voguer sur des eaux paisibles. Avec sa fille Dorothée, ingénieure diplômée de l’Esigelec (promo 2002) , il développe la holding Altitude qui compte aujourd’hui plusieurs activités distinctes : Altitude Infrastructure, Cap Horn Promotion, Altitude Lotissement, Foncière Altitude, Altitude Senior. (…) Altitude, c’est aujourd’hui une affaire familiale qui repose sur sa fille Dorothée, et son gendre, Bertrand Lebarbier (promo 2002). C’est d’ailleurs la nouvelle génération qui a décidé de refonder sept ans après Altitude Telecom. Avec une mise de fonds de départ de 30 M€. (…)
Lire l’article sur
http://www.paris-normandie.fr/breves/normandie/jean-paul-riviere-les-secrets-d-une-reussite-a-la-sauce-normande-FL9638135
Edition 2017
Marc Tastayre (promo 90) , is in charge of Strategy & Business Development for the Automotive market within Vodafone IoT. With 20 years’ experience in the M2M market, he has spent 10 years in the module industry for Wavecom and Siemens where he was Sales Director for the Automotive sector before joining Vodafone. Marc Tastayre is graduate from French Engineering school ESIGELEC of Rouen and he’s holding an MBA from University of Paris Sorbonne.
Société : VODAFONE Group
Fonction : IoT Automotive Business Development
Lire l’article sur http://www.iot-world.fr/info_int/993/tastayre.html
Mai 17
Intégrateur en génie électrique, Gipelec s'est implanté au Madrillet, à Saint Etienne du Rouvray (76), pour profiter de l'écosystème du technopôle.
Grande école d'ingénieurs (Esigelec), Institut de recherche en systèmes électroniques embarqués (Irseem), centres de formation comme le CFA Lanfry et arrivée prévue en 2019 du CESI et de son usine du futur, l'écosystème du technopôle du Madrillet est l'une des principales raisons de l'implantation de Gipelec, intégrateur en génie électrique, explique son président Didier Pézier (promo 83) « C'est très intéressant pour une PME comme la nôtre de faire partie d'un campus dédié à l'engineering. C’est un endroit qui favorise l'émulation et le travail en collaboration ». Également président de l'Esigelec, Didier Pézier milite de longue date pour les rapprochements entreprises/écoles « Lorsque le CESI va s'installer au Madrillet, le campus sera le huitième en France en matière de formation d'ingénieurs, soit plus de 1 000 chaque année. Pour les entreprises, c'est un écosystème idéal qui permet
de favoriser les partenariats avec les écoles et les laboratoires de recherches mais aussi de trouver sur place les ressources humaines dont elles ont besoin ».
Un axe central
Avec une zone d'intervention couvrant la Normandie, l'Ile de France, ou encore le centre de la France, Gipelec a également choisi d'installer ses 700m2 de nouveaux bâtiments, accueillant les 40 collaborateurs de l'entreprise, pour des raisons logistiques « C'est un point de départ stratégique qui permet de relier facilement Paris, de couvrir l'axe de Caen, celui du Havre, ou encore le Nord de la France ». Une accessibilité nécessaire pour une entreprise dont plus de 40 % du chiffre d'affaires se compose de contrats de maintenance, le reste étant réalisé en travaux neufs et de rénovation.
« L'écosystème du technopôle du Madrillet favorise les partenariats école/entreprise », se réjouit Didier Pézier,
président de Gipelec.
Suite de l’article sur :
http://www.lejournaldesentreprises.com/editions/76/services/services-entreprise/gipelec-installation-au-madrillet-pour-favoriser-le-travail-en-reseau-05-05-2017-325118.php
Mai 2017
Elles bougent pour sensibiliser les étudiantes
Christophe Martin anime aujourd'hui la délégation "Elles bougent Normandie" pour valoriser les métiers
scientifiques et techniques auprès des étudiantes. Peu à peu, les lignes bougent.
La délégation normande compte 108 marraines et ambassadrices qui vont témoigner sans tabou de leur parcours, de leur métier, accompagnant les filles dans leur choix d’orientation, Catherine Duval, ingenieure (promo 97), chargée des stages en entreprises à l’international à l’Esigelec, en fait partie. Elle n'a qu'un mot à leur dire : "Allez-y, foncez".
Née dans un milieu d'ingénieurs et entourée de quatre frères, Catherine Duval s'est lancée dans cette carrière sans a priori. Plongée pendant dix ans dans le monde très masculin de la production, elle a compris par la suite ce que voulait dire le mot sexisme. "J'ai fait le parcours inverse", résume-t-elle. Aujourdhui, elle en tire les leçons : "Les femmes doivent être encouragées car elles peuvent apporter un regard différent. Elles bousculent les acquis, rafraîchissent des métiers jusque-là très masculins en introduisant de la fluidité. Les femmes savent s'affirmer mais, à leur facon, en essayant plutôt d'obtenir l'adhésion de leurs interlocuteurs". La vocation d'"Elles bougent" est donc de promouvoir l'égalité professionnelle et de permettre aux filles d'accéder à tous les choix de carrière possibles, et avec des actions très concrètes. Sur le site, elles peuvent trouver des emplois, des stages, contacter des marraines. Dans ses déplacements, la délégation en profite aussi pour faire passer des messages auprès des garçons. "L'évolution nécessitera un changement de regard de tous".